presse force one

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informations, investigations, analyses

mercredi 29 février 2012

Niwa Long OthonNiwa Long Othon (DG Matgenie) Ndoudoumou Jean Jacques et Jean Tabi Manga convoqués

Niwa Long Othon (DG Matgenie)

Ndoudoumou Jean Jacques (DG Agence de regulation des marchés publics)

Jean Tabi Manga (Recteur de l’université de Yaoundé II)
Sont attendus ce vendredi au contrôle supérieur de l’état pour des explications sur leur gestion.
Je vous propose ici les explications de Marc Mendouga Alima
Secrétaire permanent du conseil de discipline budgétaire et financière au contrôle supérieur de l’état. Invité au journal de 13H ce jour au poste nationale.





JEAN JACQUES NDOUDOUMOU
JEAN TABI MANGA

mardi 28 février 2012

Macky Sall, l'homme qui peut battre Wade



Dakar bouillonne. La capitale sénégalaise vibre au rythme des premières tendances de la présidentielle du 26 février qui place le président sortant Abdoulaye Wade en tête du premier tour avec 32% des suffrages suivi de Macky Sall, avec 27%. La tension des grands soirs de campagne électorale règne toujours. Tous sont accrochés à un poste radio, attentifs aux derniers résultats du scrutin. Devant les locaux du quartier général de Macky Sall, qui se trouve sur les deux voies de dégagement de Liberté VI, des journalistes font le pied de grue. Va-et-vient incessants des membres du bureau. Eclats de rire par ci, tape des mains par là. Et on rit, on s’esclaffe comme pour savourer une victoire. Même si le tour n’est pas joué, «les Sénégalais sont en passe de réaliser une seconde alternance générationnelle», clament des passants.

Macky Sall, président? Si l’on en croit les premières estimations du scrutin du 26 février, le Sénégal s’achemine inéluctablement vers un second tour. Abdoulaye Wade est au coude à coude avec le leader de l’Alliance pour la République (Apr). Désormais pour ce dernier, plus que «quelques pas le séparent du palais présidentiel», a déclaré un membre de l’opposition sur les ondes de la Radio Futurs Médias (RFM). Car, soutient-il, «aucun candidat ne nouera d’alliance avec Wade. Il est fini».

A Dakar, la nouvelle a surpris. Jusqu’à la publication des premiers résultats, le soir du scrutin, certains pensaient encore à un «hold up électoral» du camp libéral. Même si certains se sont réveillés avec la «gueule de bois» à cause de la défaite du parti de l’unité et du rassemblement, Bennoo Siggil Senegaal, d’autres savourent la victoire du peuple au soir du 26 février, qui est en passe de réussir sa seconde alternance.

Génial et travailleur pour certains, incompétent et peu charismatique pour d’autres, Macky Sall divise. Même s’il est respecté par tous pour ces quatre années de dure labeur dans le Sénégal des profondeurs. Pour beaucoup, Macky Sall récolte aujourd’hui les fruits de ce travail car derrière sa nonchalance et son physique imposant, se cache une volonté de fer à toute épreuve, grâce à laquelle il a conquis l’électorat sénégalais.
Ancien faucon de Wade

Il est rare, même très rare de voir son visage s’éclairer d'un simple sourire. Macky Sall n’est pas du genre à rire ou à s’enthousiasmer. Il est du genre introverti avec une mine toujours sévère. Ce qui lui a valu d’être surnommé par la presse locale Niangal Sall (sévère en wolof).

Homme politique sénégalais né le 11 décembre 1961 dans la région de Fatick, localité située au centre du pays, Macky Sall est un ingénieur et géophysicien de formation. Issu d’une famille très modeste de quatre enfants, de père ouvrier dans la fonction publique et d’une mère vendeuse de cacahuètes, Macky Sall passe une enfance tranquille dans la campagne entre la région de Fatick et le Fouta. Le baccalauréat en poche, il s’envole pour l’université de Dakar où il fait la rencontre de Landing Savané, leader d’And jëf, dont il intègre le mouvement. Quelques temps après, il se sépare de ce dernier, et rejoint le camp libéral. En 1983, débute son compagnonnage avec Wade. Malgré toutes les péripéties que rencontrent le PDS, avec l’emprisonnement de l’opposant Wade et le départ de certains des leurs, Macky Sall reste aux côtés de son mentor, jusqu’en 2000, qui porte Abdoulaye Wade à la magistrature suprême du pays.
La montée en puissance

Après avoir pris une part active à la victoire des libéraux, Wade ne lui confie, pas pour autant, de portefeuille ministériel. De décembre 2000 à juillet 2001, il est nommé directeur général de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen). Ensuite, il devient conseiller spécial du président de la République chargé de l’Energie et des Mines, d’avril 2000 à mai 2001. Avant d’être bombardé ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique. Ensuite de novembre 2002 à août 2003, il détient en sus de son portefeuille ministériel celui de ministre d’Etat. D'août 2003 à avril 2004, il est affecté au poste de ministre d'État, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, porte-parole du gouvernement dont Idrissa Seck est le Premier ministre. Et, parallèlement, il est nommé vice-président du comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) en avril 2004.

C'est en avril 2004 qu'il obtient la consécration. Il est nommé Premier ministre, poste qu’il occupera jusqu’en juin 2007. Cette année-là, il devient président de l’Assemblée nationale. C’est de là que commence ces bisbilles avec son pygmalion.

Le 16 novembre 2007, le comité directeur du PDS décide de supprimer le poste de numéro deux du parti et de réduire le mandat du président de l’Assemblée nationale, de 5 à un an. Une sanction qui en vérité n’est destinée qu’à faire payer «la lourde faute politique», selon les termes utilisés par les libéraux, de Macky, coupable d’avoir convoqué, Karim Wade, fils du président, pour l’auditionner dans le cadre des travaux de l’Agence nationale pour l’organisation de la conférence islamique (Anoci). Acculé et bousculé par ses «frères», il démissionne du parti et de son poste le 9 novembre 2008. Et crée son propre parti, Alliance pour la République (Apr/Yakaar). Il commence dès lors à régler ses comptes avec le clan Wade.
C’est du Macky(llage)

Pour beaucoup d’observateurs, l’humiliation de Macky Sall au sein du Parti démocratique n’est en fait que la résultante de ses basses œuvres au sein de la formation. «Macky Sall n’est pas un ange», témoigne d’emblée un journaliste sous couvert de l’anonymat. Alors directeur de campagne de Wade à l’élection présidentielle de 2007, Macky Sall arrive dans son bureau de vote sans présenter de pièce d’identité et défie l’autorité du président en place pour accomplir son acte citoyen, en lui lançant un simple «je suis le Premier ministre».

Un geste, qui selon ce journaliste, n’est rien d’autre qu’un acte de despote. Pour celui-ci, il ne faudrait pas oublier non plus, que le probable futur président du Sénégal a joué un rôle majeur dans l’emprisonnement d’Idrissa Seck —ancien Premier ministre de 2002 à 2004 et candidat à la présidentielle—, pendant huit mois, dans le cadre de l’affaire des chantiers de Thiès. En retour, Idrissa Seck l’a ouvertement accusé de détournement de deniers publics qui s’élèvent à 7 milliards de francs CFA, soit plus de dix millions d'euros. La prouesse de l'actuel challenger de Wade, c'est d'avoir réussi à faire oublier ses années de compagnonnage avec celui qu'il n'hésitait pas à comparer à Napoléon.

Tout cela est aujourd'hui de l'histoire ancienne. Depuis sa disgrâce, il est resté cohérent dans son engagement à lutter contre le pouvoir du président, Abdoulaye Wade. Pour beaucoup de Sénégalais, il apparaît comme l'homme qui a subi une injustice après avoir tenté de freiner la dévolution monarchique du pouvoir.

Même son attitude controversée au sein du M23 (Rassemblement de l'opposition), Macky Sall n'ayant pas brillé par une dénonciation appuyée de la candidature de Wade, a porté ses fruits. Et tout porte à croire qu'il s'installera bientôt au palais de l'avenue Léopold Senghor.

Lala Ndiaye

mardi 21 février 2012

LA PRESSE ET L'OPERATION EPERVIER



La presse et l'opération épervier

La presse Camerounaise a déployé des gorges chaudes avant et pendant l’opération épervier ; on pouvait lire des titres les plus pompeux ou des plus mitrailleurs en fonction des intérêts en jeu. Un environnement où les contradictoires de la presse n’avaient rien à voir avec la rigueur ou la diligence qui sied à la profession.

vendredi 17 février 2012

AFFAIRE DU BEBE VOLE : SELON LA RESPONSABLES DE L’ALVF ESTELLE ENDALLE, IL S’AGIT DE « VIOLENCE FAITE A UNE FEMME » ET NON DE « VIOLENCES FAITES AUX F



AFFAIRE DU BEBE VOLE : SELON LA RESPONSABLES DE L’ALVF (Association de lutte contre les violences faites aux femmes ) ESTELLE ENDALLE, IL S’AGIT DE « VIOLENCE FAITE A UNE FEMME » ET NON DE « VIOLENCES FAITES AUX FEMMES »

LE GRAND SCANDALE

Cette association comme beaucoup d'autres bénéficie de subvention des représentations diplomatiques et consulaires, et même du gouvernement.

jeudi 16 février 2012

OU EST PASSE PAUL BIYA


Le Cameroun n'a pas de président depuis deux semaines

Celui qui est censé avoir été élu récemment pour sept ans est sorti du pays voici plus de deux semaines pour une destination inconnue.
En attendant, une crise sociale (affaire Tchatchou) et politique (ELECAM) agite le pays, dans un environnement délétère de fin de règne et de combat pour la succession.

SAM MBENDE SIGNE L’ARRET DE MORT DE LA SOCAM ET LA SACEM DECLARE LA SOCAM PERSONA NON GRATA

SAM MBENDE SIGNE L’ARRET DE MORT DE LA SOCAM ET LA SACEM DECLARE LA SOCAM PERSONA NON GRATA
Dans l’annuaire 2012, la CISAC ne reconnait que la CMC. Sur cette vidéo, vous avez tour à tour Sam Mbende et lady Ponce qui raconte comment la SACEM a rejeté son dossier parce qu’il portait l’entête de la SOCAM qui n’est ni reconnue par la SACEM, ni par la CISAC regardez la vidéo

jeudi 2 février 2012

VANESSA : TCHIROMA GRAVES AVŒUX D’INCOMPETENCE DU GOUVERNEMENT

VANESSA : TCHIROMA GRAVES VŒUX D'INCOMPÉTENCE DU GOUVERNEMENT



Sur la pression de la rue, le gouvernement de la république a fini par sortir du silence assourdissant, que dis-je, embarrassant, qu’il observait jusque là. Le peuple avait besoin d’explications, le gouvernement lui a servir les résultats de son enquête ; et qu’apprend t- on des ces résultats ? Que le Cameroun est gouverné à des niveaux insoupçonnés d’une chaine d’incompétence incapable de garantir la sécurité des citoyens.


Pour le Ministre de la communication parlant au nom du gouvernement et selon leur enquête, le bébé a été volé dans la couveuse de l’hôpital par Gouaba Alabi avec son complice serano : La direction de l’hôpital avoue donc son incompétence en admettant que n’importe qui peut voler un bébé dans un hôpital dit de référence et placé sous haute sécurité. L’incompétence est dès lors constatée au niveau de la Direction de cet hôpital.


Pour le Ministre de la Communication parlant au nom du Gouvernement et selon leur enquête, la gendarmerie a interpellé le ou les coupables qui se sont mystérieusement évadés de leur cellule. L’incompétence est constatée au niveau de la gendarmerie qui avoue sur le fait être incapable d’assurer la sécurité des hommes et des biens.

Pour finir, les conséquences.

La direction de l’hôpital qui avoue ainsi son incompétence est toujours en place, le commandant de brigade de gendarmerie où les suspects se sont évadés est toujours là. Pour le gouvernement, l’affaire est close comme ça, et ouste, circulez, il n’y a rien à voir.

mercredi 1 février 2012

MIS A JOUR : MAURICE KAMTO, CE QUE JE CROIS





MIS A JOUR
MAURICE KAMTO : CE QUE JE CROIS

Il était une fois un homme respectable, un professeur de droit pour qui le régime Biya constituait un rédhibitoire, tant pour sa forte personnalité que pour ses convictions. J’ai personnellement dans mes archives numériques, dix neuf points de vu et autres articles du professeur sur l’état des lieux et la décrépitude du régime en place.

C’est l’occasion pour moi une fois de plus, de remercier le professeur Kamto pour service rendu à la nation dans le dossier Bakassi. Merci Professeur.

J’aurai été l’un des premiers jeune citoyens de ce pays à s’allier à vous si vous n’aviez jamais pris part à ce régime, ou si vous aviez démissionné en février 2008, par exemple, au moment du braquage de notre constitution la même année, ou à n’importe quelle autre date en mi-septennat.

Vous avez malgré le constat du chômage chronique de la jeunesse, malgré les massacres de février 2008, malgré le braquage de la constitution…consommé le septennat jusqu’au bout, jusqu’au bout professeur.


Quelques jours avant la formation du nouveau gouvernement, sans doute au courant de ce que vous n’en ferez plus parti, vous quittez le navire en perdition (avec désormais votre contribution à cette perte), comme un capitaine de navire lâche (avec tout le respect) qui abandonne ses passagers pour sauver sa peau.

Je perçois donc en votre démission un acte d’égoïsme aigu, pathologique chez la plupart de nos compatriotes pour qui l’intérêt particulier est toujours placé au dessus de l’intérêt général.

Je vous pardonne, comme je pardonne au président Biya, mais je n’oublie que vous avez participez à faire mal à mon pays, avec ce régime, que vous avez aussi participé à écraser la jeunesse que vous semblez tout à coup découvrir son chômage massif.


Professeur. Loin de moi l’idée de vous manquer du respect, non loin de moi ce besoin. Cependant, je ne percevrai jamais votre démission à la dimension du symbole que représente celle de Monsieur Garga Haman. Je suis un jeune qui a des convictions, et qui exprime ses idées sans avoir peur de personne du moment où je suis en conformité avec la loi de mon pays. C’est pourquoi j’ai souhaité vous regarder dans les yeux et vous dire que vous n’êtes en rien différent de ceux que vous indexez aujourd’hui. Voilà ce que je crois.

Sismondi Barlev BIDJOCKA
JOURNALISTE EDITORIALISTE
PORTE-PAROLE DU RASSEMBLEMENT
DE LA JEUNESSE CAMEROUNAISE
TEL 77 85 89 19