presse force one

presse force one
informations, investigations, analyses

jeudi 28 août 2014

SOLDATS CAMEROUNAIS EGORGES PAR BOKO HARAM


Pendant que le Ministre de la Défense Edgar Alain Mebe Ngo'o fait dire à la presse que tout va bien, nos soldats se font égorgés tous les jours par Boko Haram.

La réalité est terrible!

De jeunes soldats à peine formés sont envoyés à la mort sans aucune expérience pendant que les autres restent à Yaoundé avec les Vittara et les petites sexy à bord.

Le rôle d'un soldat est certes de mourrir au combat pour la patrie, mais là nous avons à faire à un massacre en règle parce que des enfants sont utilisés comme des chairs à canon dans une guerre où l'adverssaire a une forme encore difus et non identifiable.

Au delà de l'échec de la défense qui tatonne avec le renseignement (Aresttation des opposants, tantôt des notaires ), c'est le doute et la panique qui s'installent malgré la petite propagande médiatique orchertrée à la gloire du Ministre de la défense.

mercredi 13 août 2014

MARTIN BELINGA EBOUTOU

LE MESSAGE DE MARTIN BELINGA EBOUTOU
Communiqué du Ministre, Directeur du Cabinet Civil, relatif au voyage du Chef de l'Etat pour la France, en vue de prendre part aux cérémonies commémoratives du 70ème anniversaire du débarquement de Provence.

dimanche 10 août 2014

HEURE DE VERITE: LE ROLE DE PAUL BIYA DANS LA CORRUPTION AU CAMEROUN

BIENTOT


HEURE DE VERITE: LE ROLE DE PAUL BIYA DANS LA CORRUPTION AU CAMEROUN
« Le président est bon mais c’est ses
Collaborateurs qui sont mauvais »
C’est avec ce dogme que les lieutenants du président Paul Biya l’ont pendant trente deux ans dédouaner de ses responsabilités, jusqu’à ce que les camerounais finalement comprennent que le problème n’était pas forcément ailleurs, mais à la tête de l’état. Le problème c’était le chef lui-même. Entre les discours et les faits, La dissonance était là. Au Nombre des effets pervers engendrés par la casuistique du président Biya, il y a ce mimétisme dangereux, car tout le monde a imité le chef : on dit ce qu’on ne fait pas, et on fait ce qu’on ne dit pas. Ces faits sont imprescriptibles.
Je ne vous dirai pas comment tout ça va se terminer parce que je ne la sais pas (à moins d’être un démiurge) mais je vous raconte comment tout a commencé. Je n’opterai pas non plus pour cette approche qui consiste à banaliser un drame si souvent perçu sous le prisme tragique de la fin des temps. Je vous ai proposé la le décryptage de la syntaxe fonctionnelle d’un système noyé dans le sang de la corruption, et fuyant ses responsabilités.
Quand déclenchait les excroissances d’un scandale de corruption, ils devenaient si pressés, si pressants, si oppressifs, si totalitaires qu’en définitive c’est eux qui façonnaient l’âme des foules, afin de diluer ou de se soustraire de toute responsabilités.
Vous connaissez déjà la fin. Mais il vous reste un sentiment prémonitoire que votre vie s'effacera derrière vous comme un livre lu trop vite, laissant des images et des émotions, relayant votre souvenir dans les pages noircies de l’histoire où vous serez oublié. Harriet Beecher Stowe a dit une fois; « les larmes les plus amer que l'on verse sur les tombes, viennent des mots que l'on n'a pas dit et des choses que l'on n'a pas faites »
Dans le cas d’espèce, si nous admettons les causes diverses à cette tragédie, nous serons éclectiques sur le choix des remèdes. Cela veux dire que nous ne laisserons pas les dogmes imposés leur prescriptions
Comme vous le constatez, ce livre ne cherche ni à défendre une thèse, ni à étudier les secrets psychologiques d’un caractère. Dans la mesure où je n’ai pas cherché à plier les faits à une théorie, je puis prétendre être impartial, aussi impartial qu’un auteur peut l’être, car quiconque a une opinion est en cela même prévenu.
Voilà un homme d’état qui a passé sa carrière à échapper aux conséquences de ses propres erreurs et qui, grâce à son habileté, a toujours réussi à se soustraire au châtiment justement dû par tout politicien qui commet des fautes répétées.
C’est à dessein, que j’utilise ici généreusement les vers que les pamphlétaires d’autrefois flétrissaient les actes d’inconsistance politique. De Paul Biya, les politicien à l’affût du succès pourraient apprendre comment tourner leurs défaites en triomphent.
Absent, paresseux, caché, machiavélique, rusé, inerte, connivent et fourbe ; Poursuivi par cet accusation, Paul Biya n’ira peut être jamais devant une court de justice pour les cadavres des jeunes massacrés en 2008 sous son instigation, il n’ira peut être jamais devant un tribunal pour des actes d’enrichissement illicite et de gaspillage de la fortune publique, il n’ira peut être jamais devant un tribunal pour sa complicité intellectuelle par omission et par co-omission dans le pillage et les détournements de la fortune publique au Cameroun, mais il n’échappera pas à la gravitation fatale et irrésistible de la sentence du tribunal de l’histoire