ESSIGAN CONTRE LAAKAM
Comment des valeurs culturelles importantes ont été transformées en armes politique au service des intérêts égoïstes
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lundi 20 mai 2013
samedi 11 mai 2013
PAUL BIYA HUMILIE PAR L'UDC
DE L’ORTHODOXIE DES NOMINATIONS
LA DERNIERE GRAVE ERREUR POLITIQUE DE PAUL BIYA
Le camouflet infligé au président de la république par l’UDC (en refusant la nomination au poste de sénateur supléant restera dans les anales des chroniques politiques de la république.
Quelle mouche a donc piqué le président de la république d’écouter Fame Ndongo ? On ne le saura jamais. Toujours est-il que c’est bien Fame Ndongo qui a proposé au président de nommer Koupit ADAMOU de l’UDC au poste de sénateur suppléant sans le consulter, après avoir taxé son parti de tribaliste. Ce dernier a rejeté la nomination SECHEMENT, avant d’accuser le RDPC de vouloir le corrompre ; une humiliation du tonnerre pour le chef de l’état qui pourtant a l’habitude de confier ce genre de Mission au parrain, fin diplomate que nous connaissons tous, et qui a réussi à convaincre John Fru Ndi de ne pas « prendre les machettes »
L’ « orthodoxe », au sens littéral, signifie « qui pense dans la bonne voie ». Il est destiné à tracer une frontière entre d'un côté ce qui est exact, conforme, et de l'autre côté l'hétérodoxie, autrement dit ce qui diverge de l'exactitude.
En politique, et en toute nominations, il faut consulter les interréssés avant de les nommer, sauf si vous les onsidérez comme des moins que rien. il faut leur demander s'ils sont d'accord vec vous, c'est l moindre des choses.
Dans le cas d’espèce, l’orthodoxie des nominations n’a pas été respectée. En politique, écrivait Machiavel, « il faut respecter son adversaire » : Fame Ndongo n’a pas respecté l’UDC, il a mal conseillé le président avec des paroles genre: « Ils sont comme tous les autres, donnez leur un poste de sénateur suppléant et ils seront content ». Erreur. Le Cameroun change, et la corruption politique aussi, tout le monde n’en est pas friand.
La jeunesse observe cet épisode de notre vie politique, et en tire des leçons, tout en établissant les responsabilités, personne ne tentera de transformer l’histoire.
LA DERNIERE GRAVE ERREUR POLITIQUE DE PAUL BIYA
Le camouflet infligé au président de la république par l’UDC (en refusant la nomination au poste de sénateur supléant restera dans les anales des chroniques politiques de la république.
Quelle mouche a donc piqué le président de la république d’écouter Fame Ndongo ? On ne le saura jamais. Toujours est-il que c’est bien Fame Ndongo qui a proposé au président de nommer Koupit ADAMOU de l’UDC au poste de sénateur suppléant sans le consulter, après avoir taxé son parti de tribaliste. Ce dernier a rejeté la nomination SECHEMENT, avant d’accuser le RDPC de vouloir le corrompre ; une humiliation du tonnerre pour le chef de l’état qui pourtant a l’habitude de confier ce genre de Mission au parrain, fin diplomate que nous connaissons tous, et qui a réussi à convaincre John Fru Ndi de ne pas « prendre les machettes »
L’ « orthodoxe », au sens littéral, signifie « qui pense dans la bonne voie ». Il est destiné à tracer une frontière entre d'un côté ce qui est exact, conforme, et de l'autre côté l'hétérodoxie, autrement dit ce qui diverge de l'exactitude.
En politique, et en toute nominations, il faut consulter les interréssés avant de les nommer, sauf si vous les onsidérez comme des moins que rien. il faut leur demander s'ils sont d'accord vec vous, c'est l moindre des choses.
Dans le cas d’espèce, l’orthodoxie des nominations n’a pas été respectée. En politique, écrivait Machiavel, « il faut respecter son adversaire » : Fame Ndongo n’a pas respecté l’UDC, il a mal conseillé le président avec des paroles genre: « Ils sont comme tous les autres, donnez leur un poste de sénateur suppléant et ils seront content ». Erreur. Le Cameroun change, et la corruption politique aussi, tout le monde n’en est pas friand.
La jeunesse observe cet épisode de notre vie politique, et en tire des leçons, tout en établissant les responsabilités, personne ne tentera de transformer l’histoire.
lundi 6 mai 2013
ASSOCIATION DES BLOGUEURS DU CAMEROUN
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