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mardi 31 janvier 2012
Manifs & manips
À en croire la grande majorité des médias, de CBS à Al-Jazeera, la Syrie est à feu et à sang, selon le schéma désormais classique (et même hollywoodien) du peuple luttant à mains nues pour la démocratie à l’occidentale, contre un pouvoir isolé ne s’appuyant plus que sur ses hommes de main.
La « révolution arabe » est tendance en Occident, cet Occident qui a pourtant soutenu jusqu’à l’ultime minute les autocrates tunisien, égyptien, yéménite, et qui soutient encore ceux d’Algérie ou d’Arabie Saoudite (ou du Koweit, ou du Bahrein, ou de la Jordanie, etc).
Oui, c’est vrai, le sang coule en Syrie. Mais tous les manifestants ne sont pas désarmés et pacifiques ou en recherche de pluralisme. Mais toutes les victimes ne sont pas civiles. Et toutes ces manifestations ne sont pas spontanées. On sait, depuis l’Ukraine, la Georgie, la Libye que les « révolutions », oranges, vertes ou roses, peuvent être programmées, encadrées, entretenues par les professionnels de la déstabilisation. On sait, ou devrait savoir, que du côté de Washington – et de Londres, voire de Tel Aviv – on rêve d’un monde arabo-musulman « domestiqué » et morcelé en bantoustans ethnico-religieux valets et clients de l’empire américain. Et que trop de médias, trop de journalistes, par intérêt, paresse ou conformisme, recyclent quotidiennement la thèse officielle concoctée dans les chancelleries sous influence anglo-saxonne.
Contrairement à pas mal d’alliés arabes de Washington, la Syrie est un pays où les minorités sont protégées, où les femmes sont actrices à part entière de la vie sociale, un pays d’ailleurs ouvert au tourisme et au monde. Un pays qui avance, à son rythme. C’est aussi, bien sûr, un pays où subsistent des problèmes. Mais dont les habitants, dans leur immense majorité, ne veulent pas suivre les fauteurs de guerre civile et religieuse.
Que se passe-t-il vraiment en Syrie, et pourquoi ? Le site Info-Syrie.com va tenter de l’expliquer, face à toutes les désinformations. En rassemblant les opinions indépendantes, les informations inédites ou minorées par les médias sous influence. En effectuant donc, en continu, un travail de « ré-information ». Pour distinguer le vrai du faux. Et le montage politico-médiatique de la réalité socio-politique. Pour faire mieux connaître, par la même occasion, un pays important, par sa dimension et ses réalisations, au sein de ce Proche-Orient plus stratégique et fragile que jamais.
Ami de la Syrie, de son peuple, de sa culture, ce site n’est ni systématiquement hostile ni servilement affilié à l’actuel gouvernement : les contributions et analyses que vous y lirez vous prouveront assez son indépendance, son souci d’objectivité. Une objectivité qui pousse à constater que la désinformation et le mensonge sont d’abord le fait des médias sous influence américaine. Et qui servent, plus ou moins consciemment, le projet américain de « reformatage » du monde arabo-musulman. Alors, avec Infosyrie.com, réinformez-vous !
vendredi 27 janvier 2012
VOICI LA PREUVE QUE ELECAM N’A PAS PU UTILISER LE LOGICIEL DU PNUD
VOICI LA PREUVE QUE ELECAM N’A PAS PU UTILISER LE LOGICIEL DU PNUD
Ma source fait partir du groupe technique qui centralise les inscriptions sur les listes. Ma source m’appel hier matin au téléphone et demande à me parler.
Elle me félicite pour « le travail du rassemblement de la jeunesse dans les opérations des inscriptions avant de poursuivre… je vous ai contacté parce que vous êtes l’un des journalistes à qui on peu faire confiance et qui ne marchande pas l’information et c’est pourquoi je vais vous confier une information importante…je n’ai pas l’impression de trahir parce que je sais que ce que je fais est bien pour mon pays…Je m’appelle XXXXX ma profession est XXXXX voici ma carte nationale d’identité. Ce que je vais vous confier, vous pouvez recouper à d’autres sources ;
Le PNUD nous donné un logiciel de cartographie qui aurait pu nous permettre d’éviter les redondances du passé et que nous appelons chaque fois « disfonctionnement mineurs ». Ce logiciel n’a jamais pu être utilisé tout simplement parce que très peu de personne pouvait en user malgré les séminaires de formation que nous avons organisé et qui nous ont coûté ce que vous savez …nous avons utilisé des simples feuilles du logiciel Excel. ..
Ce logiciel aurait pu nous aider à éviter les doublons, à nettoyer les morts, et à cartographier tous les bureaux de vote avant les opérations. Nous sommes quelques-uns à savoir utiliser le logiciel, nous avons écris au Directeur Général pour lui dire que nous pouvions l’installer et le mettre en réseau pour que l’opérateur de Maroua puisse détecter qu’un électeur est par exemple déjà inscrit à Ebolawa…Le Directeur Général ne nous a pas répondu, mais nous avons reçu des menaces au cas où on parlait de ça à la presse…à suivre
mardi 24 janvier 2012
« GUINNESS EMPOISONNE SA CLIENTELLE : DECHETS TOXIQUES ET PRESERVATIFS SOUILLES RETROUVES DANS SES PRODUITS. DES CONSOMMATEURS ESPOSES A L’INTOXICATIO
« GUINNESS EMPOISONNE SA CLIENTELLE : DECHETS TOXIQUES ET PRESERVATIFS SOUILLES RETROUVES DANS SES PRODUITS. DES CONSOMMATEURS ESPOSES A L’INTOXICATION. »
C’est la grande une de la livraison numéro 157 ce jour du journal L’AVOCAT.
On y apprend que les produits Guinness, notamment ICE et SATZEMBRAU recèlent des déchets tels des préservatifs souillés, des bouts de papier, des capsules, matières plastiques, morceaux de tissus...
La société Guinness n'a pas encore réagit
vendredi 6 janvier 2012
Le mouvement sportif Camerounais pris en otage par des braconniers
mercredi 4 janvier 2012
L'APRES BIYA S'ANNONCE
MISE A JOUR
L’APRES BIYA
AVEC ATANGANA MEBARA, ABAH ABAH ET LES AUTRES…
01.01.2012
www.presseforceone.blogspot.com
Intellectuels diplômés de droit Français, contre intellectuels diplômés des universités Camerounaises, Mouangué Kobila et Kamto se déchirent au tribunal pour une histoire de plagiat. Nous sommes là dans les sphères de l’environnement occidentalo-centriste néocoloniale face aux spécificités du droit africain. Passons.
Et pendant que ces intellectuels se portent les coups de griffes devant la barre et loin des Campus, l’après Biya commence dans le revers de l’opération épervier, avec une opinion publique qui de plus en plus regarde Mebara, Abah Abah, Titus Edzoa, Olanguena…comme l’espoir de demain pour le Cameroun, comme des victimes, des héros ; le peuple est versatile, avec une mémoire courte. Ces hommes sont acclamés par des foules chaque fois qu’ils font une apparition publique au tribunal par exemple ! C’est un véritable paradoxe, dont l’impédance influencera le prochain Cameroun, la prochaine opposition, la prochaine démocratie réellement pluraliste, la prochaine renaissance, la prochaine nation.
C’est désormais une course contre la montre, et Paul Biya le sait, à presque 80 ans. La seule issue pour lui, c’est de mourir au pouvoir, s’il le peut ! Autrement, la concentration de feu qui s’abattra sur lui, sera mortelle. Il a contre lui, ses victimes, c'est-à-dire les jeunes loups de son système qu’il a lui-même fabriqué, et qu’il a fait emprisonner au moment où ceux-ci aspiraient à prendre sa relève. Le peuple a presque oublié qu’il a lui-même réclamé la tête de ces « héros » qu’il considère aujourd’hui comme des martyrs. Pourquoi ? Parce que l’opération épervier qui s’annonçait sous le prisme de la lutte contre la corruption à un moment où la situation socio économique était des plus critiques, s’est mué dans l’imagerie populaire en règlement de compte politico-tribal : Le Lobby Béti qui voulait voir les Bamilékés à Nkondengui, des forces invisibles qui freinaient des quatre fers pour que les gens du Nord ne soient pas embastillés etc.
J’ai déjeuné il y a quelque jour avec un diplomate qui m’a confié que le pouvoir de Yaoundé travail à reformer le code pénal, et qu’il revenait d’une réunion avec des autorités (J’espère qu’il ne s’agit pas aussi de la dépénalisation de l’homosexualité, je l’espère bien…). Il est de toute évidence question de revoir le système judiciaire qui a connu quelques déboires durant procès des personnalités accusées d’atteinte à la fortune publique. Ceux qui le font le savent, ils sont susceptibles demain, de se retrouver à la place de leurs victimes.
Sismondi Barlev BIDJOCKA
Editorialiste
Tél : 77 85 89 19
L’APRES BIYA
AVEC ATANGANA MEBARA, ABAH ABAH ET LES AUTRES…
01.01.2012
www.presseforceone.blogspot.com
Intellectuels diplômés de droit Français, contre intellectuels diplômés des universités Camerounaises, Mouangué Kobila et Kamto se déchirent au tribunal pour une histoire de plagiat. Nous sommes là dans les sphères de l’environnement occidentalo-centriste néocoloniale face aux spécificités du droit africain. Passons.
Et pendant que ces intellectuels se portent les coups de griffes devant la barre et loin des Campus, l’après Biya commence dans le revers de l’opération épervier, avec une opinion publique qui de plus en plus regarde Mebara, Abah Abah, Titus Edzoa, Olanguena…comme l’espoir de demain pour le Cameroun, comme des victimes, des héros ; le peuple est versatile, avec une mémoire courte. Ces hommes sont acclamés par des foules chaque fois qu’ils font une apparition publique au tribunal par exemple ! C’est un véritable paradoxe, dont l’impédance influencera le prochain Cameroun, la prochaine opposition, la prochaine démocratie réellement pluraliste, la prochaine renaissance, la prochaine nation.
C’est désormais une course contre la montre, et Paul Biya le sait, à presque 80 ans. La seule issue pour lui, c’est de mourir au pouvoir, s’il le peut ! Autrement, la concentration de feu qui s’abattra sur lui, sera mortelle. Il a contre lui, ses victimes, c'est-à-dire les jeunes loups de son système qu’il a lui-même fabriqué, et qu’il a fait emprisonner au moment où ceux-ci aspiraient à prendre sa relève. Le peuple a presque oublié qu’il a lui-même réclamé la tête de ces « héros » qu’il considère aujourd’hui comme des martyrs. Pourquoi ? Parce que l’opération épervier qui s’annonçait sous le prisme de la lutte contre la corruption à un moment où la situation socio économique était des plus critiques, s’est mué dans l’imagerie populaire en règlement de compte politico-tribal : Le Lobby Béti qui voulait voir les Bamilékés à Nkondengui, des forces invisibles qui freinaient des quatre fers pour que les gens du Nord ne soient pas embastillés etc.
J’ai déjeuné il y a quelque jour avec un diplomate qui m’a confié que le pouvoir de Yaoundé travail à reformer le code pénal, et qu’il revenait d’une réunion avec des autorités (J’espère qu’il ne s’agit pas aussi de la dépénalisation de l’homosexualité, je l’espère bien…). Il est de toute évidence question de revoir le système judiciaire qui a connu quelques déboires durant procès des personnalités accusées d’atteinte à la fortune publique. Ceux qui le font le savent, ils sont susceptibles demain, de se retrouver à la place de leurs victimes.
Sismondi Barlev BIDJOCKA
Editorialiste
Tél : 77 85 89 19
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