presse force one

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informations, investigations, analyses

mercredi 26 décembre 2012

ATANGANA KOUNA : BIENS MAL ACQUIS


C'est bien lui qui est ministre de l’eau en ce moment et qui nous fait voir de toutes les couleurs! c’est lui, l’ancien administrateur « PROVISOIRE » la CAMWATER ; (six ans comme administrateur provisoire, du jamais vu). Il a procédé à la liquidation de la SNEC en solo , et ce faisant s’est emparé des biens de la société, cet immeuble situé en face du collège Montesquieu abrite les services du centre régional des impôts ; il appartient à Atangana Kouna, qui l’a construit sur un terrain appartenant à la SNEC, et donc à l’état ! après avoir fini de construire, il le met en location à l’état ! Voilà la république exemplaire qui avance! Mais nous devons tout faire pour que les responsabilités soient étabies le jour d'après!!

BEFE ATEBA : ATTENDU


Voici la décharge de la lettre que j’ai déposée ce matin au secrétariat de Mgr Befe Ateba, peésident du conseil national de la communication, lui demandant d’interdire « L’hymne à Paul Biya » à l’entrée du journal du poste national.
Si rien n'est fait, nous n'accepterons plus que quelqu'un ose donner la moindre leçon à la presse privée, quoi qui arrive .

vendredi 21 décembre 2012

JEUNES POLICIERS : MENTION TRES BIEN


Dans les grandes villes du Cameroun, à Yaoundé particulièrement, on redoute la période des fêtes à cause des bouchons infinis et les embouteillages mortels ; Pourtant cette fois (je dis rarement que c’est bien, je donne rarement les bons points) le travail des jeunes policiers stagiaires dans la capitale est formidable : ça circule, ça passe, ça roule, c’est fluide, c’est bien ! C’EST TRES BIEN !

Ces jeunes policiers sont sous le soleil, dans la poussière etc …et font leur travail : Ils conseillent les chauffeurs, aident les enfants à traverser la route, et surtout veillent sur la fluidité de la circulation ; Merci à ces jeunes policiers, en espérant qu’ils resteront aussi travailleurs et courageux, je veux dire sans se faire infecter par les mauvaises habitudes des vieux policiers ! Chapeau les gars !

vendredi 14 décembre 2012

MARAFA HAMIDOU YAYA ECRIT A LA CONAC



Monsieur le président,
C’est avec grand intérêt que j’ai pris connaissance du « Rapport sur l’état de la lutte contre la corruption au Cameroun en 2011 » publié par la commission nationale anticorruption en novembre 2012.
Vous savez l’importance du tout premier ordre dont est investie à mes yeux la mission de votre organisme.

Précisément pour cette raison, je suis extrêmement surpris de voir mon nom figurer au tableau n°12 récapitulant »les montants destinés à être engrangés au niveau de chaque fait générateur d’indemnisation » dans le chapitre portant sur les enquêtes relatives à l’exécution du projet du port en eau profonde de Kribi. »

Du projet en question, il est écrit en page 158 du rapport : « le port en eau profonde de Kribi constitue un enjeu capital dans le cadre du développement de notre pays…. » « Selon les experts, un site situé entre les villes de Kribi et de Campo répondrait parfaitement à ces préoccupations. C’est dans ce cadre que l’arrêté n° 000156N.14.4/MINDAF/D410 du 06 février 2009 a déclaré d’utilité publique une zone située entre Kribi et Campo, incluant l’arrondissement de Lokoundjé. Conséquemment, le décret n° 2010/323 du 14 octobre 2010 a classé dans le domaine public artificiel les terrains nécessaires aux travaux d’aménagement du complexe industrialo-portuaire de Kribi. Y faisant suite, le décret n° 2010/3312/PM du 30 novembre 2010 en a exproprié les propriétaires terriens détenteurs ou non des titres fonciers.

Cette opération a, selon le rapport, donné lieu à des « exactions » et à des « crimes d’initiés », décrits dans les termes suivants en pages 164, 169 et 170 : « L’occasion faisant le larron, nombre de Camerounais venant de tous les horizons et d’étrangers, de peu de scrupules, pourvu d’un flair affairiste et moralement pas du tout intègres et sans doute informés à travers des réseaux mafieux, se sont rués dès 2008 sur la zone destinée à être expropriée » ; « il n’est point besoin d’établir que le projet de construction du Port en eau profonde de Kribi a suscité des vocations criminelles ayant allègrement conduit à un complot financier contre l’Etat du Cameroun ;» « jamais avant 2009, la zone en cause n’a connu une telle effervescence de demandes et d’obtention, coûte que coûte, d’un nombre ahurissant de titres fonciers. »
Dans ce contexte, la mention même de mon nom équivaut clairement à m’accuser d’avoir voulu obtenir, dans une démarche au mieux bassement spéculative et au pire frauduleuse, une indemnisation disproportionnée au titre de ma possession de parcelles dans la zone soumise à expropriation.

Il est exact que je détiens deux (02) parcelles dans un lotissement approuvé par les administrations compétentes de l’Etat, sur un domaine privé. Seulement, je les ai acquises il y a 15 ans, comme en atteste le titre foncier n° 1702/0 en date du 02 juillet 1997. Ces deux parcelles ont fait l’objet d’un morcellement ayant abouti à la délivrance en ma faveur des titres fonciers n° 1715 et 1716 en date du 10 septembre 1997.
Vous me permettrez de vous faire noter que cette date précède de près de 12 ans l’arrêté du 06 février 2009 déclarant d’utilité publique la zone réservée au port en eau profonde de Kribi.
J’ajoute qu’en 2003, j’ai acquis dans le même lotissement, une parcelle mitoyenne aux deux précédents, comme en atteste le titre foncier n° 2559 en date du 23 octobre 2003. Cette fois encore, vous me permettrez de vous faire noter que cette date précède de près 6 ans l’arrêté du 06 février 2009.
Enfin, vous me permettrez de vous donner les indications suivants sur l’usage que j’ai fait jusqu’à présent de ces parcelles, et de vous demander si elles sont cohérentes avec une quelconque visée spéculative : j’y ai construit un mur d’enceinte en matériaux définitifs et aménagé un jardin avec un point d’eau, je m’y suis rendu chaque fois que j’en ai eu l’occasion avec ma famille et des amis ; j’y ai réservé un espace où construite une maison pour passer paisiblement une partie de l’année pendant la retraite.
Voulez-vous m’indiquer en quoi ces intentions sont fautives ?
Mais, même si n’étaient pas manifestes l’antériorité considérable de l’opération d’acquisition sur les arrêtés d’expropriation et l’usage manifestement non spéculatif de parcelles, il vous aurait suffi de considérer le fait crucial suivant pour ne pas songer une seconde à me mettre en cause : Je n’ai jamais été notifié d’une quelconque décision d’expropriation visant mes parcelles et, logiquement, je n’ai jamais perçu la moindre indemnisation à ce titre, sous quelque forme que ce soit, espèces, chèque ou virement.

D’ailleurs, il n’est pas certain que les travaux d’aménagement du port en eau profonde de Kribi s’étendent jusqu’à ces parcelles. Il va sans dire que si tel était toutefois le cas, comme semble le suggérer votre rapport, je ferai évidemment contre mauvaise fortune bon cœur et je me plierai aux exigences d’une expropriation.
En résumé, mon nom se retrouve dans ce rapport pour avoir, des années avant une décision d’expropriation qui ne les vise probablement pas, acquis des parcelles en vue de ma retraite, et ce, sans avoir perçu la moindre somme.
Je veux croire qu’il s’agit là du fruit de la confusion et du manque de sérieux. La grossière erreur de calcul ayant abouti au « Total Marafa Hamidou Yaya » figurant en page 167 est une autre raison de le penser.

Quelle que soit l’intention sous-jacente, je suis gravement calomnié par ce rapport.
J’exige donc qu’une correction avec le degré nécessaire de clarté et de publicité y soit apportée dans les plus brefs délais.
Veuillez agréer, monsieur le président, l’expression de ma considération distinguée.
Yaoundé, 05 décembre
(é) Marafa Hamidou Yaya

dimanche 9 décembre 2012

SCANDALE A LA CNPS : LISEZ ÇA SVP C’EST GRAVE !


SCANDALE A LA CNPS : LISEZ ÇA SVP C’EST GRAVE !
Dans un pays qui se veut émergent à l’horizon 2035, voici les avantages que se donne le Directeur général de la CNPS






mercredi 5 décembre 2012

LES SNJC A MARQUE UN GRAND COUP

LES SNJC A MARQUE UN GRAND COUP
Dans le journal de tv5 ce soir, c’est de la manif du SNJC Dont il est question, plus que des états généraux de la communication !! Bravo au SNJC

Communication : Des états généraux sur fond de tensions
Par Aboudi Ottou
En marge du lancement des états généraux de la communication ce mercredi à Yaoundé, les membres du Syndicat national des journalistes ont organisé une manifestation pour dénoncer le « gouvernement et ses affidés, dont l’agenda caché est une reprise en main des maigres espaces de liberté chèrement acquis depuis décembre 1990.»
« Non au musèlement de la presse », « oui à la subvention aux médias », « la liberté de presse n’est pas un privilège pour les journalistes ». Voilà quelques messages inscrits sur des banderoles et de nombreux bandeaux brandis ce mercredi 5 décembre 2012 par une trentaine de membres du Syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc), aux membres du gouvernement prenant une photo de famille sur le perron de l’entrée du palais des Congrès. Des forces de l’ordre qui tentent d’arracher lesdites banderoles avant de se raviser… Les 2e états généraux de la communication viennent d’être lancés à Yaoundé.


Plainte contre l’Etat du Cameroun




Le Snjc traduit donc ainsi son mot d’ordre de boycott actif en actes concrets et compte aller jusqu’au bout : « nous allons boycotter ces états généraux de la communication pendant et même après, si nous n’en sommes pas satisfaits des résolutions, nous comptons porter plainte à l’Etat du Cameroun auprès des instances internationales en charge de la protection des droits de l’homme », jure Félix Ebolé Bola, le président du Snjc.



Félix Ebolé a été nommé au sein de la commission scientifique de ces états généraux la semaine dernière par le ministre de la Communication (Mincom), Issa Tchiroma Bakary. Mais son rôle dans cette commission, a-t-il précisé, sera celui de « suivre et de dénoncer de l’intérieur ». Pour mieux faire passer leur message, les membres du Snjc ont fait distribuer un journal dénommé « Snjc Alert », avec à sa Une : « Etats généraux de la communication : Séance de maraboutage au Palais des Congrès ».

Diagnostiquer le grand malade qu’est le secteur de la communication au Cameroun et dégager la thérapie. Ainsi se résume l’objectif de ces états généraux de la communication, s’est pour sa part défendu, dans son allocution, le vice-Premier ministre Amadou Ali qui représentait le Premier ministre empêché. Les maux dont souffre ce secteur sont: la diffamation, l’atteinte à l’honorabilité des personnes, le chantage, la propagation de la rumeur etc à pour sa part résumé le Mincom.




Pour faire ce travail, journalistes, responsables d’organes de médias, publicitaires, étudiants et enseignants en journalisme, éditeurs, hommes politiques, et autres acteurs de la société civile venus de tous les horizons, prennent par à ces assises qui se referment vendredi, 7 décembre 2012.

samedi 1 décembre 2012

LE JOURNALISME

Le Journalisme, le vrai, l’Efficace : c'est Raconter exactement ce qu’on voit et entend, avec les même émotions, les mêmes images et les mêmes couleurs sans rien rajouter ! C’est tout ! le reste c’est le bep bep, les pipis de chat ! commentaires analyses etc...n'importe qui peut le faire, et c'est relatif.
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SISMONDI BARLEV BIDJOCKA
Journaliste
sismondi2@yahoo.fr